Soutien à la recherche

Dans le cadre de sa politique scientifique en recherche respiratoire,

L’association le Nouveau Souffle se propose de financer l’année 2023, des projets de recherche pour un budget global de 100 000 Mille euros.

Travaux post-doctoraux de recherche médicale

L’association « le nouveau souffle » lance un appel d'offres pour des travaux post-doctoraux de recherche médicale sous forme d'une bourse de thèse et / ou mobilité, en relation avec la pneumologie avec un montant maximum de 20 000 euros par projet.

Contactez nous

Vous avez une idée qui vous semble prometteuse ?

Travaillons ensemble pour faire avancer la recherche dans le domaine de la santé respiratoire.

Previous Next Play Pause

Introduction

L’association entre le tabagisme et le risque cardio-vasculaire (RCV) chez les patients atteints de bronchopneumopathie obstructive chronique (BPCO) n’est pas clairement établie. En effet, la plupart des études évaluant le RCV chez ces patients se basent sur des comparaisons entre des patients présentant une BPCO tabagique et des témoins tabagiques. Il est donc difficile de déterminer si le tabagisme est un facteur de RCV indépendant chez les patients présentant une BPCO. Par ailleurs, le RCV chez les patients atteints de BPCO non-tabagisme reste à définir. Objectif : estimer la rigidité artérielle (un facteur prédictif indépendant de la mortalité cardiovasculaire) par la mesure de la vitesse d’onde de pouls (VOP) et évaluer ses déterminants chez des patients présentant une BPCO légère à modérée secondaire à une exposition aux poussières organiques, au tabagisme ou aux deux et indemne de maladie cardiovasculaire apparente.

loading...

Introduction

L’asthme sévère concernerait plus de 250 000 personnes en France. Il n’existe que peu de données concernant ces patients dont la prise en charge est parfois difficile. L’objectif de cette étude est de réaliser une étude descriptive des patients asthmatiques sévères pris en charge dans les CHG de France.

Méthodes

Il s’agit d’une étude non interventionnelle et transversale réalisée auprès des pneumologues des CHG et portant sur des patients asthmatiques sévères selon les critères ATS/ERS et âgés de plus de 18 ans.

Résultats

Parmi les 1502 patients inclus, 1465 sont analysables. La moyenne d’âge est de 54 ans (± 16), 27 % des patients ont plus de 65 ans et 63 % sont des femmes.

Objectif principal

Décrire la population des patients atteints de SAOS âgés de 70 ans et plus, en France.

Objectifs secondaires

  • Décrire la prise en charge diagnostique et thérapeutique de ces patients.
  • Estimer la mortalité à 1,3 4, 5 ans des patients, les comparer avec les patients d’âge inférieur à 70 ans, selon les données de la littérature.
  • Étudier l’observance et la tolérance des traitements.
  • Étudier l’évolution des comorbidités, la survenue d’incidents et accidents évolutifs (pathologies respiratoires, cardiovasculaires, chutes, troubles cognitifs…).

État des connaissances

L’aspergillose bronchopulmonaire allergique (ABPA) touche 3 à 13 % des patients atteints d’asthme. Son histoire naturelle comporte des exacerbations, pouvant menacer le pronostic vital et une évolution vers des troubles ventilatoires obstructifs fixés, voire des lésions de fibrose pulmonaire irréversibles. Le pronostic de l’ABPA est directement associé au contrôle des exacerbations et l’objectif principal du traitement est de diminuer la fréquence et la durée des exacerbations.

Objectif :

L’objectif était d’évaluer l’impact de la qualité du sommeil sur la durée de sevrage ventilatoire en comparant la qualité du sommeil chez les patients avec un sevrage court (<3jours) versus prolongé (≥3jours).

Méthodes

Tous les patients intubés plus de 24heures et ayant échoué au premier test de sevrage étaient inclus. Les critères d’exclusion comprenaient : la poursuite de sédation, les pathologies neuromusculaires, du système nerveux central ou psychiatrique. Les explorations comprenaient une polysomnographie, les mesures de la force musculaire périphérique, pression inspiratoire maximale (PIM) et la recherche d’un syndrome confusionnel. 

Longtemps considérée comme le parent pauvre de l’imagerie par résonance magnétique (IRM) d’organe, l’IRM pulmonaire a bénéficié d’évolutions technologiques qui rendent aujourd’hui réaliste son utilisation. Néanmoins, si les développements technologiques ont permis de solutionner la plupart des difficultés techniques, la diversité et le florilège des séquences proposées nécessitent une synthèse des données, afin d’envisager des protocoles simples et un rationnel dans son utilisation.

Page 1 sur 7